Doubler le nombre de pistes cyclables d’ici 2026.

Un développement volontariste des mobilités douces

L’utilisation systématique de la voiture individuelle en ville, souvent pour de courts trajets et avec une seule personne à bord, est particulièrement contre intuitif tant pour la planète et même pour la santé publique si l’on prend en compte les particules fines issues du diesel. C’est également un facteur important de réchauffement climatique : le transport en général représente environ un tiers de nos émissions domestiques. La vitesse peut aussi faire l’objet d’une réduction. Pour favoriser leur acceptation, ces zones doivent faire une large place aux mobilités douces, en particulier les vélos.

Pour passer aux mobilités douces, de nouvelles infrastructures sont néanmoins nécessaires : pistes cyclables, aménagements des trottoirs, espaces de stationnement. Nous avons depuis le début du mandat restructurer et dessiner 19 km de pistes cyclables. Certes, c’est loin d’être suffisant. Des bandes cyclables avaient été tracées dans certaines rues sous le précédent mandat. Cependant, elles n’étaient pas liées entre elles et ne débouchaient sur rien ! Plusieurs itinéraires sont aujourd’hui possible en vélo. Avec la consultation Coeur de Ville, en 2019, les vernonnais ont montré qu’ils accordaient une grande importance aux mobilités douces : c’est donc tout le centre-ville qui sera accessible à la petite reine.